La société Plastiques et Tissages de Luneray, qui emploie 200 salariés à Ourville La Rivière en Normandie, fabrique des sacs depuis plus d'un siècle : elle a connu tous les matériaux, commençant par le lin, tissé en sacs à partir de la fin du 19e siècle. C'est dans les années 70 que fut négocié le virage du siècle, avec l'apparition des matières plastiques : les procédés changaient pour adapter la production aux nouveaux matériaux de l'ère du pétrole, comme les granules de polyéthylène. Aujourd'hui c'est le retour en arrière vers la nature, avec la technologie en plus : les machines dédiées aux granules de plastique fonctionnent sans transformation avec des granules de pomme de terre, pour une production plus propre et deux fois moins vorace en énergie. Les sacs produits ainsi, dont l'usine compte bien sortir 30 millions d'unités tous les ans (600 tonnes en 2006, à comparer avec les 27000 tonnes de sacs plastiques), sont bien sur entièrement bio dégradables. Pour l'instant, malgré les économies d'énergie indéniables, la pomme de terre est plus onéreuse que le polyhéthylène : 0,23 euro le sac bio de 30 litres contre 0,13 euro en plastoc. Mais René Pierre Renault, directeur de l'usine (photo ci contre) est optimiste, à juste titre : «Le prix du plastique est condamné à la hausse comme celui du pétrole dont il est issu, tandis que le sac en fécule baissera à la faveur de l'augmentation des volumes», assure-t-il.
Source : dépêche AFP & l'usine nouvelle : ""
L’état vous oblige vous ‘les hommes de la terre’ à respecter des normes drastiques. Dans une zone humide vous ne devez pas faire ceci ou modifiez cela, on vous casse les pieds pour le simple fait de planté un poteau dans une ZNIEFF, attention de ne pas déposé du fumier trop prêt d’une habitation, il faut que vos installations soit parfaitement aux normes etc.
Mais à côté de cela, les pouvoirs publiques font tout le contraire : un exemple réel :
La communauté de commune de l’estuaire de la dives, ‘14390’ elle, elle a le droit de rebouché des fossés, arraché des plantes protégées, rencaissé des herbages dans une zone humide toujours en ZNIEFF, d’organisé une pollution irréversible (lessives, javel, huile de vidange, sacs poubelles entiers ou crevés jetés directement dans les cours d’eau etc.) et même d’y construire. Cette communauté de commune a le droit de faire ce quelle veut et personne ne dit quoi que se soit. Pourquoi ?
Cette information est la stricte vérité et n’est qu’un aperçut de la catastrophe, les agriculteurs de coin sont écœurés et ne peuvent rien faire, regardez cette page
http://perso.orange.fr/varaville.cabourg/
La Diren ne dit rien, le préfet non plus
pnativ@voilà.fr