Organisée depuis quelques années par Richard Wallner, ancien ingénieur en électronique, trentenaire, la ferme écologique du Petit Colibri est encore l'une de ces initiatives en or révélées par l'émission Carnets de Campagne, sur France Inter. On y découvrait aujourd'hui les déboires de cette exploitation qui après plusieurs années de lancement, dédiées à la réintroduction d'espèces végétales, animales et insectes indispensables à l'agriculture biologique, se trouve confrontée aux désastreuses décisions d'une municipalité peu compréhensive.
Structurée en entreprise individuelle d'exploitation de 6 hectares sur la commune de Marsac, en Charente, l'initiative est désormais soutenue par des personnalités de tous horizons. Pierre Rahbi, Claude Bourguinon sont ces esprits libres, soutiens de poids, parmi les plus investis dans la preuve par l'exemple, qui avec les années ont réussi à montrer que le choix de l'agriculture intensive n'a pas d'issue.
Car au delà de la production agricole, Richard Wallner n'a pas oublié son expérience dans l'enseignement : il consacre une partie de son temps à une pédagogie bienvenue : l'agriculture du Petit Colibri intègre aussi les dimensions architecturales et paysagères. La gestion de l'eau, problème de plus en plus crucial, est aussi à l'ordre des réflexions dans ce petit coin nature des bords de la Charente.
bonjour à tous,
quelques mots pour rectifier le tir.
Il ne sagit pas là, d'incompréhension de la part d'une municipalité envers Richard Wallner mais bien d'une intention de nuire, puisque les procédés les plus vils ont été utilisés ( calomnies, mensonges, désinformation ) par un maire, adorateur du Dieu Monsanto, pour détruire une initiative salutaire, les Soubeyrans sont encore bien trop nombreux à mon gout .
Bon courage à Richard et aux autres ! Tenez bon !
Merci à vous,
Alain Meslier
bon jour pour tous,
l'action de ce jardin en permaculture n'est plus un luxe dans notre belle société marchande, pour reprendre les mots de PR, c'est maintenant un enjeu de pérennité plus que salutaire : jardiner est un acte politique ! A mon avis c'est même un acte de survie puisque l'on n'hérite pas que de la terre de nos ancêtres, on l'emprunte aussi à nos enfants.
bien à vous