Here comes the sun, c'est le titre d'une chanson des Beatles, écrite et chantée par George Harrison dans l'album Abbey Road (1969). Et c'est désormais aussi le titre d'un communiqué du célèbre Institut technologique MIT de Boston, qui détaille les résultats de travaux communs entre chercheurs du MIT et chercheurs du RWTH Aachen University, en Allemagne. Ces recherches, qui s'inspirent de l'optimisation de la capture des photons pour la photosynthèse dans les fleurs de tournesol, promettent de réduire l'impact au sol des centrales solaires à concentration, comme en existent dans la région de Séville, ou encore à titre expérimental la centrale ALBA NOVA 1, en Corse. En reproduisant sur le terrain la matrice de capteurs ( ou en l'occurence sur ce principe, de centaines de miroirs qui renvoient la lumière sur le concentrateur thermique) selon une spirale inspirée de la fleur de tournesol, les chercheurs prévoient un rendement supérieur pour une surface au sol réduite de 20%.
Here comes the sun : l’énergie solaire inspirée de la nature
15 janvier 2012